CV119 - James Coleman, On récolte ce que l’on sème — Stephen Horne
Ciel variable 119 - Contre-nature (Hiver 2022)
Focus (Article individuel, version numérique)
James Coleman, What Goes Around Comes Around
On récolte ce que l’on sème | What Goes Around Comes Around
— Stephen Horne
Cet essai sur la pratique de l’artiste irlandais James Coleman prend pour prétexte la rétrospective que lui consacrait le Centre Pompidou. Dans son retour détaillé sur l’exposition et même au-delà d’elle, Stephen Horne relève l’importance du jeu chez Coleman. Un jeu associé comme au théâtre à la dissimulation, « ou même [à] la duperie ». L’artiste va jusqu’à s’approprier des aspects du théâtre et des médias et donner à chacune de ses installations « l’apparence, écrit Horne, de mise en scène préparée en studio, avant d’être filmée ». Son appel à différentes temporalités, à la répétition, à des voix multiples, notamment le monologue intérieur, ou à des récits discontinus et fragmentés contribue à faire de son œuvre « une expérience fascinante ». De l’avis de Stephen Horne, « Coleman, à l’instar de Dan Graham, met l’accent sur la place du plaisir et du jeu dans l’activité consistant à "regarder" ».
Détails
Langue : Français et anglais
Version numérique : PDF, 2.6 Mb
Notice bibliographique
Stephen Horne, « James Coleman, What Goes Around Comes Around », Ciel variable, no 119, Montréal, 2022, p. 63-69.
Liens
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